A ma mère
Nous ne mangerons plus ta confiture de coing. D’abord parce qu’un « crétin » (ce sont tes mots ce jour là) a eu la mauvaise idée de raser le cognassier du jardin. Ensuite et surtout, parce que ta gelée était la meilleure.
Nous ne mangerons plus tes croque-monsieurs si particuliers.
Nous ne mangerons plus tes incroyables coquilles St-Jacques « à la nantaise »…