Stabat mater dolorosa
Claire connaît le jour exact où elle s’est mit à haïr son enfant. Elle se souvient même de la seconde. Aussi furtive qu’un claquement de porte. Celui de son homme, son amour, sa vie. Fini, parti. Elle savait qu’un jour où l’autre leur histoire se terminerait, mais elle ne pouvait se l’avouer. Naïvement, elle espérait retrouver la passion de leur début, qu’au fur et à mesure, la flamme reviendrait, mais il fallait se rendre compte à l’évidence : le temps n’est qu’un faux allié pour combattre la routine. Et cette routine s’est installée depuis la venue de l’enfant…